Volume 11 • 2024 • Numéro 3

Monde associatif dentaire Le Dr Antel a changé de style de pratique à plusieurs reprises. «J’ai monté une pratique, je l’ai complètement repensé, puis j’ai recommencé, explique le Dr Antel. À l’époque, j’avais tout consigné par écrit pour essayer d’y voir clair.» Cet effort a mené à deux choses : un manuel sur la gestion d’un cabinet dentaire et une trousse de tout le matériel nécessaire à la gestion d’un cabinet, y compris des dépliants pour les patients, des lettres, des formulaires pour le calcul de la couverture d’assurance. «Uneconnaissancequi siégeaitaucomitédescommunications de l’Association dentaire duManitoba (ADM) m’a appelé pour me demander quel matériel j’aimerais que mon association produise sur l’exploitation d’un cabinet dentaire, se souvient le Dr Antel. Je lui ai dit ce que j’avais déjà créé et c’est ainsi que j’ai été invité à me joindre au comité des communications de l’ADM.» Le Dr Antel se joint au comité au début des années 1990 et finit par en assurer la présidence, une fonction qu’il occupe jusqu’en 2017. Les ressources compilées par le Dr Antel ont servi de fondement à son livre AGuide toDental PracticeManagement and Marketing for New and Established Practitioners publié en 1994 et revu en 2005. Le Dr Antel a continué de s’investir dans l’ADM; il s’est joint au conseil d’administration en 2006. «J’aime faire partie du monde associatif dentaire parce que ça me permet d’avoir une vue d’ensemble et d’examiner les raisons pour lesquelles les choses fonctionnent comme elles fonctionnent, indique-t-il. Avant, je trouvais des solutions aux irritants dans ma pratique, mais je me demandais parfois : “Pourquoi est-ce que ça fonctionne Invitation au 50e anniversaire du Dr Antel qui montre le petit Joel à l’âge de 4 ans. Le Dr Antel et sa femme Bonnie à l’aérodrome de St. Andrews, près de Winnipeg. comme ça?” En faisant partie du monde associatif, je peux mieux comprendre les choses et j’ai l’impression de pouvoir contribuer à leur amélioration. » En 2011, le Dr Antel prend la présidence de l’ADM : «À l’époque, Ross McIntyre était directeur général. Il travaillait pour l’association depuis plus de 40 ans. Il a pris sa retraite cette année-là et Rafi Mohammed, qui était à la direction des services aux membres, est devenu directeur général. Les deux étaient fantastiques. Ils ne m’ont pas dit quoi faire ni essayer de me mettre à leur main. Ils m’ont plutôt soutenu pendant que je cherchais comment m’intégrer dans mon rôle. J’ai vraiment aimé cette année-là.» 25 Numéro 3 | 2024 |

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